Merci à Gilles Quincy, auteur de ce travail très intéressant (paru dans Racines en Corrèze, en septembre 2007).
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Ce site, ouvert aux historiens, chercheurs ou simples curieux, est dévolu à tout ce qui touche au métier de bourreau. Il s’est donné comme but de rassembler tous les textes, analyses, documents, liés à cette singulière caste. Outre l’histoire des familles de maîtres des hautes et basses œuvres, on y évoque aussi les techniques, les instruments de travail – la guillotine en particulier – les mentalités, les exécutions capitales et, plus généralement, la justice criminelle.
Un Vincent Grosholtz fut bourreau, vêtu d'un manteau rouge et d'un tricorne, le 10 janvier 1868 à Moudon, en Suisse, pour l'exécution à l'épée du condamné Héli Freymond. Ses descendants habitent toujours la région et, pour certains, travaillent dans le domaine de la santé.
RépondreSupprimerLe bourreau qui exécuta Héli Freymond s'appelait effectivement Grosholz mais dût venir de St-Gall car il n'y avait plus de bourreau dans le canton de Vaud. Il ne parlait que 2 mots de Français et reparti tout de suite après l'éxécution pour son canton.
SupprimerC'est certainement un descendant de cette famille. Merci de cette information.
RépondreSupprimerDans mes recherches généalogiques , j'ai trouvé que mon arrière arrière grand mère paternelle descend de ces Grosholtz de Zurich. Un Jean Joseph Grosholtz était bourreau à Strasbourg et sa fille Marie Anne s'est mariée avec François TUSSAUD. C 'est elle qui a fondé le Musée de Cire à Londres.
SupprimerSur www.geneanet.org vous trouverez la généalogie des GROSHOLTZ
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